Cendres d’Innstown – la prévente est commencée!

Pour celles et ceux qui voudraient se procurer un exemplaire de mon omnibus Cendres d’Innstown 2002-2008, la prévente est commencée : PRÉVENTE

Attention, parfois, un feu peut renaître sous les cendres…
Et qui sait quels monstres vous y attendent ?
Les monstres. Du plus loin que je me souvienne, je les ai toujours aimés.


La naissance d’un écrivain.

C’est ce que ce recueil, Cendres d’Innstown (2002-2008), vous présente dans ces pages. En réunissant dans la collection Brumes de légende les 27 textes issus des six premières années de publication de Jonathan Reynolds, la maison d’édition Les Six Brumes propose un regard sur le moment crucial durant lequel le rêveur se transforme en auteur professionnel et, peu à peu, transforme ses sources d’inspiration premières en matériaux pour bâtir sa personnalité propre.

Durant la première décennie du nouveau millénaire, l’apprenti écrivain et admirateur de Howard Philips Lovecraft couche sur papier les rêves et les cauchemars nés de l’intersection entre une partie de ses lectures, de son vécu réel et de ses angoisses intérieures. Entre les espoirs d’Ombres (2002) et les terreurs de Silencieuses (2008), l’auteur tisse la tragédie Nocturne (2005) et grave ses Épitaphes : la fin d’Innstown et de Silent Valley (2008), complétant le cycle par la publication dans Brins d’éternité No. 21 de « La malédiction de McNeil ».

C’est dans ce dernier récit que Jonathan Reynolds se met lui-même en scène, provoquant délibérément par l’acier de la métafiction une rupture qui lui permet de se libérer du Cycle d’Innstown et d’entamer, du même souffle, la phase suivante de sa carrière d’auteur.

Alors, maintenant que vous avez une meilleure idée de ce que vous tenez entre les mains, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bonne route. Ou plutôt, bonnes routes. Au pluriel. Parce que chacune de ces vingt-sept histoires sont des chemins qui vous conduiront dans mon imaginaire d’avant, de 2002 à 2008, ces six années que j’ai passé dans cette mystérieuse région où l’on retrouve maintenant les ruines des villes fictives d’Innstown, Silent Valley et Wood’s Fall.

Qu’entendrez-vous dans le silence de ces cendres ?

Sommaire

1. Cendres de quoi?, essai de Jonathan Reynolds
2. Ombres (roman)
3. Nocturne (roman)
4. Parfum de vengeance (nouvelle)
5. Blondes, rousses, noires (nouvelle)
6. L’autre surface (nouvelle)
7. Huit comme le temps qui file (nouvelle)
8. Cornes en moins (nouvelle)
9. Cette porte (nouvelle)
10. Abttr (nouvelle)
11. Déconte (nouvelle)
12. Fragments (nouvelle)
13. Saison de lilas (nouvelle)
14. Elle sous la pluie (nouvelle)
15. Là-bas (nouvelle)
16. L’horreur de la rue Hanson (nouvelle)
17. Programme double (nouvelle)
18. Pointures (nouvelle)
19. Épitaphes (nouvelle)
20. Deux solitudes (nouvelle)
21. Là où meurent les rails (nouvelle)
22. En silence (nouvelle)
23. Scareman (nouvelle)
24. Oubliée (nouvelle)
25. Après les larmes (nouvelle)
26. Éphémère no. 11 (nouvelle)
27. 13, chemin de l’église (nouvelle)
28. La Malédiction de McNeil (nouvelle)

Bonus

1. Cendres d’Innstown, essai de Guillaume Houle
2. La Géographie imaginaire dans l’œuvre de Jonathan Reynolds, essai de Pierre-Alexandre Bonin
3. Ombres – Réécriture du chapitre 1 (2012)
4. Ombres – Premières pages (1998)
5. Nocturne – Premières pages (1998)
6. À propos de Silencieuses
7. L’Horreur de Hanson Street – version originale (nouvelle, 1996)
8. Le Placard – version originale de « Deux Solitudes » (nouvelle, 1996)
9. 13, Church Street – version originale (nouvelle, 1996)
10. Un petit tour de passe-passe (nouvelle, 1998)
11. Beauté fatale, de Mathieu Fortin (nouvelle, 2007)
12. Retour à Innstown, de Pierre-Luc Lafrance et Jonathan Reynolds (nouvelle)

Cendres d’Innstown – Prévente le 28 mars 2022

 Dans une semaine, lundi 28 mars, commencera la prévente de mon omnibus CENDRES D’INNSTOWN (2002-2008)

Je vous inviterai à précommander votre exemplaire de mon recueil Cendres d’Innstown (2002-2008), un volume colossal qui comprendra 2 romans (Ombres, Nocturne), 25 nouvelles (dont celles de Silencieuses, Épitaphes et des nouvelles publiées en revues et fanzines) ainsi des bonus : des textes exclusifs de ma plume, ainsi que de quelques autres auteurs (Pierre-Alexandre Bonin, Mathieu Fortin, Guillaume Houle, Pierre-Luc Lafrance).

Pour lire le résumé du recueil, rendez-vous ici : https://www.sixbrumes.com/ce-lundi-28-mars-commence-la…/

Restez à l’affût, je vous transmettrai le lien vers la prévente dès lundi le 28 mars!

Salon du livre de Montréal 2021

Cette année, je serai présent au Salon du livre de Montréal. L’événement aura lieu au Palais des congrès de Montréal. J’ai bien hâte de vous revoir en personne, lectrices et lecteurs. En plus des heures de signatures officielles, je serai en tout temps au kiosque 616 si vous voulez venir me jaser ou me faire signer un livre.

Aussi, je participerai au Cabaret de l’inquiétante étrangeté, animé par l’autrice Véronique Marcotte, en très bonne compagnie (Raphaëlle B. Adam, Catherine Côté, Fanie Demeule, Catherine Leroux, Patrick Senécal, Audrey Wilhelmy, et le musicien Guido Del Fabbro).

Heures de signatures (kiosque 616)

– Vendredi 26 novembre 2021 : de 16h30 à 17h30

– Samedi 27 novembre 2021 : de 13h30 à 14h30

– sinon, en tout temps (ou presque) du jeudi 25 au dimanche 28

Cabaret de l’inquiétante étrangeté (Agora)

– Vendredi 26 novembre 2021 : de 19h30 à 20h45

Pour plus de détails, c’est par ici : (https://www.salondulivredemontreal.com/recherche?requete=Jonathan%20Reynolds)

Abîmes : récipiendaire de deux prix Aurora/Boréal

Wow.

Je suis encore ému, touché par cette reconnaissance.

Abîmes a remporté le prix Aurora/Boréal pour le meilleur roman.

Aussi, la talentueuse artiste Marie-Chloé Duval a remporté ce même prix pour la catégorie « Meilleure création artistique » pour la couverture d’Abîmes.

J’en profite pour féliciter tous(tes) les finalistes et récipiendaires, que voici :

Prix Aurora/Boréal 2021 – Récipiendaires :

  • Meilleur roman : Abîmes, de Jonathan Reynolds (Alire)
  • Meilleure nouvelle : « La Mémoire du papillon », de Pascal Raud (Solaris no. 214)
  • Meilleur ouvrage connexe : Tous mes univers, de Joël Champetier (Alire)
  • Meilleure BD : Aliss, de Patrick Senécal et Jeik Dion (Alire/Front Froid)
  • Meilleure création artistique : Marie-Chloé Duval, pour la couverture du roman Abîmes.
  • Fanédition : Mariane Cayer, pour son blogue Les Lectures de Prospéryne.